I’d like to talk a bit about one of the things that helped me in my career change: artificial intelligence

Nowadays, AI no longer needs an introduction. It is on everyone’s lips, in all applications, and across all sectors. It has become an indispensable tool.

With its arrival, we realize that it is essential to train and adapt in order to stay competitive. Just a few years ago, someone could be considered “illiterate” if they couldn’t speak English and I believe this remains one of the challenges of the modern world. But I am convinced that in a few years, we will say the same about artificial intelligence, with the only difference being that it has already cornered us, exerting additional pressure due to the speed of its evolution.

Despite its drawbacks, artificial intelligence is a powerful tool that can help us solve complex problems. We already see this with recent discoveries in various fields like medicine or the research of new materials. Companies and individuals who use it gain a clear advantage; it’s obvious.

I must admit that I was not an early adopter and that my interest in AI is relatively recent. But as soon as I understood what it could bring to my daily life, I jumped in feet first. I didn’t yet know how to exploit it, but I was sure it would help me progress.

And little by little, I started using free tools two years ago (yes, back then, the free options were quite limited, especially compared to today, where we have a multitude of tools and more and more open-source projects). At first, you fumble and wonder:

How can I use this power to continue growing and improving myself?

The first steps with AI are a bit strange: you test it on topics you know, just to see if it is well-informed. Quickly, you might go through a phase of rejection (you know, that moment when you say, “Meh, it’s not great, I don’t really see the point…”). But this is precisely the crucial tipping point: when doubt sets in, you need to go further and see how others are using it. It was at this moment that I stopped watching purely recreational YouTube videos (with moderation, of course!) to devour everything related to AI. Whoever hasn’t done some “binge-watching” on YouTube, throw the first stone at me… It’s the best way to discover new possibilities and new uses.

Next comes the acceptance phase: when you better understand what AI can do, you start to think outside the box. I began to converse with ChatGPT on all kinds of subjects. Anne Frank said, “Paper is more patient than man”; well, I think AI is even more patient than paper. It never gets tired and always answers our questions. However, it is important to always verify the information and remain critical: AI is not a logical mind, but a tool that regurgitates sequences of words (or “tokens”) corresponding to our questions. Nevertheless, the possibilities are immense:

• I spent hours brainstorming with it on application ideas, projects, technologies to explore, or new skills to acquire.
• I even deliberately made it “hallucinate” to tap into its creative side!
• Then I started using it to learn new things: I asked it to be my mentor in programming, specifying not to give me code to simply copy-paste into a software, but to explain how to achieve it myself.

It becomes a powerful tool when you want to learn, an almost inexhaustible source of knowledge. Thanks to it, I advanced faster than I would have believed.

Today, I am in the final phase, the one where I integrate these tools into my daily life. Since AI became part of my workflows, it has given me, in a way, the “superpowers” we dream of as children. Of course, I can’t fly or cling to walls like Spider-Man, but I am now able to do much more, explore paths I had previously set aside, and most importantly, improve the quality of what I produce. Currently, I use AI to:

• Polish my articles
• Create drafts from a simple idea
• Develop business plans and marketing campaigns on the fly
• Analyze relevant information from very long articles
• Help me write code that I then correct and improve

Despite all these superpowers, it remains essential not to stop thinking for oneself and to consider AI as a support, not as a replacement for one’s own thinking. It will never replace (at least not yet) human creativity and thought. A great power entails great responsibilities (thanks, Uncle Ben).

This is not a plea to defend artificial intelligence, but rather my perspective on the current situation, which I believe is an opportunity for all of us to grow and improve.

So, if you haven’t yet started using AI in the right way, what are you waiting for? It’s time to learn to walk.

# French Version

J’aimerais parler un peu de l’une des choses qui m’a aidé dans mon changement de carrière : l’intelligence artificielle

De nos jours, l’IA n’a plus besoin d’être présentée. Elle est sur toutes les lèvres, dans toutes les applications, et dans tous les secteurs. C’est devenu un outil indispensable.

Avec son arrivée, on se rend compte qu’il est essentiel de se former et de s’adapter pour rester compétitif. Il y a encore quelques années, une personne pouvait être considérée comme “illettrée” si elle ne parlait pas anglais et je pense que c’est toujours l’un des défis du monde moderne. Mais je suis convaincu que dans quelques années, on dira la même chose de l’intelligence artificielle, avec la seule différence que celle-ci nous a déjà mis dans une position délicate, exerçant une pression supplémentaire à cause de la rapidité de son évolution.

Malgré ses inconvénients, l’intelligence artificielle est un outil puissant qui peut nous aider à résoudre des problèmes complexes. On le voit déjà avec les découvertes récentes dans des domaines variés comme la médecine ou la recherche de nouveaux matériaux. Les entreprises et les individus qui l’utilisent bénéficient d’un avantage clair ; c’est évident.

Je dois admettre que je n’étais pas un early adopter et que mon intérêt pour l’IA est relativement récent. Mais dès que j’ai compris ce qu’elle pouvait apporter dans mon quotidien, je me suis lancé à pieds joints. Je ne savais pas encore comment l’exploiter, mais j’étais sûr que ça m’aiderait à progresser.

Et petit à petit, j’ai commencé à utiliser des outils gratuits il y a deux ans (oui, à l’époque, les options gratuites étaient assez limitées, surtout comparées à aujourd’hui, où nous avons une multitude d’outils et de projets open-source). Au début, on tâtonne et on se demande :

Comment puis-je utiliser cette puissance pour continuer à grandir et m’améliorer ?

Les premiers pas avec l’IA sont un peu étranges : on l’essaye sur des sujets que l’on connaît, juste pour voir si elle est bien informée. Rapidement, on peut traverser une phase de rejet (tu sais, ce moment où tu te dis : “Bof, c’est pas génial, je ne vois pas vraiment l’intérêt…”). Mais c’est précisément là que se situe le moment crucial : quand le doute s’installe, il faut aller plus loin et voir comment les autres l’utilisent. C’est à ce moment que j’ai arrêté de regarder des vidéos YouTube purement récréatives (avec modération, bien sûr !) pour dévorer tout ce qui touche à l’IA. Qui n’a pas fait de “binge-watching” sur YouTube, lancez la première pierre… C’est le meilleur moyen de découvrir de nouvelles possibilités et de nouvelles utilisations.

Vient ensuite la phase d’acceptation : quand tu comprends mieux ce que l’IA peut faire, tu commences à penser en dehors des sentiers battus. J’ai commencé à converser avec ChatGPT sur toutes sortes de sujets. Anne Frank disait : “Le papier est plus patient que l’homme” ; eh bien, je pense que l’IA est encore plus patiente que le papier. Elle ne se fatigue jamais et répond toujours à nos questions. Cependant, il est important de toujours vérifier les informations et de rester critique : l’IA n’est pas un esprit logique, mais un outil qui régurgite des séquences de mots (ou “tokens”) correspondant à nos questions. Néanmoins, les possibilités sont immenses :

• J’ai passé des heures à brainstormer avec elle sur des idées d’application, des projets, des technologies à explorer ou de nouvelles compétences à acquérir.
• Je l’ai même délibérément poussée à “halluciner” pour exploiter son côté créatif !
• Ensuite, j’ai commencé à l’utiliser pour apprendre de nouvelles choses : je lui ai demandé d’être mon mentor en programmation, en précisant qu’elle ne devait pas me donner du code à simplement copier-coller dans un logiciel, mais m’expliquer comment y parvenir moi-même.

Elle devient un outil puissant quand on veut apprendre, une source de connaissance presque inépuisable. Grâce à elle, j’ai avancé plus vite que je ne l’aurais cru.

Aujourd’hui, je suis dans la phase finale, celle où j’intègre ces outils dans mon quotidien. Depuis que l’IA fait partie de mes flux de travail, elle m’a donné, d’une certaine manière, les “super-pouvoirs” dont on rêve étant enfant. Bien sûr, je ne peux pas voler ni m’accrocher aux murs comme Spider-Man, mais je suis désormais capable de faire beaucoup plus, d’explorer des voies que j’avais mises de côté, et surtout, d’améliorer la qualité de ce que je produis. Actuellement, j’utilise l’IA pour :

• Peaufiner mes articles
• Créer des brouillons à partir d’une simple idée
• Développer des plans d’affaires et des campagnes marketing à la volée
• Analyser des informations pertinentes dans des articles très longs
• M’aider à écrire du code que je corrige ensuite et améliore

Malgré tous ces super-pouvoirs, il reste essentiel de ne jamais cesser de penser par soi-même et de considérer l’IA comme un support, non comme un remplacement de notre propre réflexion. Elle ne remplacera jamais (du moins pas encore) la créativité et la pensée humaines. Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités (merci, Oncle Ben).

Ce n’est pas un plaidoyer pour défendre l’intelligence artificielle, mais plutôt ma vision de la situation actuelle, que je considère comme une opportunité pour nous tous de grandir et de nous améliorer.

Alors, si tu n’as pas encore commencé à utiliser l’IA de la bonne manière, qu’attends-tu ? Il est temps d’apprendre à marcher.